LPPR :
les raisons de la colère
Le 5 mars, l’enseignement supérieur et la recherche s’arrêtent
Grève, manifestations,
rassemblements,
réflexions et actions collectives
Pour une autre loi de programmation
Pour l’emploi et les salaires (60 000 créations en 10 ans, revalorisation des traitements pour toutes et tous et diminution des obligations de service)
Contre la précarité
Pour l’augmentation des budgets de base/récurrents des laboratoires
Contre la généralisation du recours aux appels à projets
Pour une recherche libre et indépendante
Analyse détaillée : site du SNESUP (.pdf)